Infolettre décembre 2023

Bonjour à tous !

Comment allez-vous?

En cette fin d’année, je pense au verset suivant:

« La véritable lumière qui éclaire tout homme était venue dans le monde. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle; mais Lui le monde ne l’a pas connu. Il est venu chez les siens; et les siens ne l’ont point reçu. Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être faits enfants de Dieu, savoir, à ceux qui croient en son nom, Qui ne sont point nés du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. Et la Parole a été faite chair, et a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité, et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle du Fils unique venu du Père. » (Jean 1.9-14)

Faisons-nous partie de ceux qui ont reçu la Lumière? Sommes nous nés de Dieu? Est-ce que la Parole de Dieu habite en nous? Avons-nous contemplé sa gloire? Si notre réponse est « oui » à toutes ces questions, alors qu’attendons-nous pour adorer et servir Dieu chaque minute de notre vie et répandre la Bonne Nouvelle?

Merci au passage pour tous les commentaires, les témoignages, les lettres et les commandes de documentation évangélique que je continue à recevoir personnellement plusieurs fois par jour. C’est toujours encourageant !

Quoi de neuf au niveau des traités ?

J’ai arrêté de travailler pour la SEBT en septembre (sauf quelques projets à boucler comme vous pouvez le lire ci-dessous). J’enseigne maintenant à temps plein dans un petit centre éducatif chrétien au Québec.

Nouveaux traités en français depuis cet été

Vous pouvez vous abonner ici pour recevoir un traité par semaine par voie électronique : t.me/traites.

Traités au format audio

Dans mes moments libres, je travaille à l’enregistrement de traités audio. Il y en a déjà 14 de faits, dont 10 sont disponibles sur le site. Ils sont destinées aux enfants, aux personnes illetrées et aux malvoyants notamment. Si vous connaissez une personne qui aimerait écouter ces histoires, il suffit de chercher les symboles « casque audio » ou de vous rendre sur la page suivante: https://www.traitesevangeliques.org/audio

Traductions en malgache et en lingala

Nous continuons de traduire de plus en plus de traités, pour toucher plus de 100 langues à ce jour (notre site web en a maintenant 40, je crois). https://www.traitesevangeliques.org/language

Il y a eu 6 traités traduits en malgache il y a environ 1 an. Ils sont maintenant utilisés pour l’oeuvre à Madagascar car cette langue est plus utile que le français pour toucher toute la population de l’île.

9 traités viennent d’être traduits en lingala et nous espérons que d’autres suivront l’an prochain. Nous espérons être en mesure d’imprimer les traités en lingala en janvier ou février.

Nous remercions Dieu, car il continue de nous fournir des ouvriers pour l’oeuvre (mais il en faudrait toujours plus) et il donne aussi les fonds nécessaires (certains d’entre vous ont fait des dons, merci !) et nous avons confiance que la majorité des traités que nous envoyons partout dans le monde sont utilisés pour la gloire de Dieu et que leur contenu parle à des centaines de milliers et probablement des millions de gens chaque année. Vous pouvez continuer d’en commander et de diriger d’autres évangélistes vers nous.

Vous pouvez en apprendre plus au sujet de la SEBT ainsi que commander des traités gratuits sur la page suivante : https://missionnaireanabaptiste.org/societe-evangelique-de-bibles-et-traites/ ou directement à travers le formulaire ci-dessous.

Là où la SEBT a envoyé des représentants officiels, elle ne s’occupe pas uniquement de distribuer des traités et des petites bibles, mais aide aussi à soutenir des orphelinats, des maisons de retraite, des personnes en difficulté, des prisonniers, des personnes souffrant d’addictions diverses, des villageois pauvres dans des situations critiques. Ce n’est pas notre mission numéro 1 en tant qu’organisation d’évangélisation, mais cela fait partie de l’œuvre que Jésus nous a enseigné de faire pour notre prochain, et nul chrétien, quelle que soit sa profession ou sa vocation principale, ne peut ignorer ceux qui sont dans le besoin matériel ou émotionnel autour de lui.

Vous pouvez vous abonner ici pour recevoir un traité par semaine par voie électronique : t.me/traites.

Missionnaires en France (à la frontière de la Belgique)

Une famille de missionnaires de la SEBT s’est enfin installée à Lille début novembre. Ces missionnaires sont un couple d’Américains dans la quarantaine, avec leurs deux enfants. Ils sont occupés à apprendre le français, mais accomplissent déjà l’oeuvre du Seigneur. Priez pour eux SVP.

Autres missions

D’autres missionnaires de la SEBT et, plus largement, de l’Église de Dieu en Christ sont actifs depuis des années dans plusieurs pays francophones: le Canada, Haïti, le Burkina Faso, le Bénin, le Togo, la Côte d’Ivoire, le Cameroun, la République démocratique du Congo, le Burundi, le Rwanda, le Vietnam et le Cambodge. Si jamais vous désirez contacter l’un d’entre eux, je peux vous aider à établir le contact.

Nouveaux livres des Éditions de l’Évangile

Marcher sur le chemin du Seigneur

Ce livre d’étude biblique contient dix-huit leçons destinées aux adolescents et conçues pour les aider à comprendre que la vie chrétienne est une route qui traverse ce monde. Les leçons couvrent des sujets tels que l’acceptation de soi, le respect des autres, le travail volontaire, fuir des passions de la jeunesse, l’engagement, la reconnaissance de l’orgueil, la foi, la crainte de Dieu, et plus encore. Chaque leçon contient des exercices et des questions de discussion.

52 pages ; broché ; Éditions de l’Évangile. 7,95 $

La vie victorieuse

John Coblentz. Avez-vous lutté dans la défaite en tant que chrétien ? Vivez-vous dans l’esclavage de la peur, de l’orgueil, de la convoitise, de la colère ou de l’apitoiement sur vous-même ? Dans ce livre, vous trouverez des conseils pratiques tirés de la Parole de Dieu qui vous montreront comment vivre dans la victoire sur le péché. Les étapes de la victoire ne sont pas toujours faciles. Mais elles sont justes et s’appuient sur toutes les ressources du Père céleste. Et elles mènent au ciel même !

96 pages ; broché ; Éditions Lampe et Lumière. 4,95 $

L’Église immuable (devrait paraître en janvier/février)

Ben Giesbrecht. Ce livre historique rigoureux de 234 pages parcourt l’histoire de l’Église sur près de 2000 ans, en éclairant au passage des époques assez obscures de l’histoire chrétienne. L’auteur s’appuie sur plus de 50 auteurs différents pour raconter l’histoire des vrais chrétiens souvent persécutés au fil des siècles.

Éditions de l’Évangile

La famille Andries vous souhaite Joyeux Noël et bonne année 2024 dans le Seigneur

Pour nous, nous rendons grâce à Dieu, car malgré quelques brêves maladies, nous nous portons très bien.

Louis grandit très bien. Il aura deux ans en février. Il commence à parler beaucoup quoique nous ne comprenions qu’une partie de ce qu’il dit.

Ma mère continue son combat contre le cancer. Après une quasi-disparition, une tumeur est réaparue cet automne près de la précédente. Maman a de plus en plus de mal à parler, mais en général son état de santé semble stable. SVP continuez de prier pour elle, elle a aussi des maux de tête.

Merci d’avoir pris le temps de lire cette infolettre. Vos commentaires, questions et conseils sont les bienvenus !

Que Dieu vous bénisse tous ! S’il nous accorde une année 2024, puisse-t-elle être une année de croissance pour chacun d’entre vous.

Bien chaleureusement en Christ,

Hugues & Amy Andries (et Louis)

Nous sommes tous pauvres

Cet article est une traduction d’un article paru récemment sur le blogue d’une sœur. Cette sœur, Quiara, vient de Louisiane, mais est mariée à un frère haïtien (Ézéchiel ou « Zézé »). Elle a quitté le pays à cause de l’insécurité il y a quelques mois, juste avant la naissance de sa fille. Son mari vient de les rejoindre récemment. https://www.quiarapinchina.com/post/we-are-all-poor « Il y a un énorme soulagement à accepter le trio de besoins que Jésus a décrit : la pauvreté, la faim et le chagrin. Nous sommes tous pauvres, que nous le reconnaissions ou non. Que nous le sachions ou non, nous avons une faim intérieure que seul Christ peut satisfaire. Notre propre péché est la cause de notre misère. » Citation du texte d’un livret d’école du dimanche. Les belles paroles de Jésus semblent contraster quelque peu avec certaines parties de la culture anabaptiste-mennonite nord-américaine. Si vous y pensez, nous avons un peu mélangé le sang germanique, qui aime travailler dur et étouffer les émotions, avec la sueur, les larmes et des promesses du rêve américain. Notre devise subconsciente semble être : « Travaillez dur et vous pourrez devenir ce que vous avez toujours voulu être. Quand les temps sont durs, travaillez plus dur. Baissez un peu le volume de ces sentiments. Essayez d’être une bonne personne. Tondez votre pelouse, nettoyez vos fenêtres et ne soyez pas en retard pour le culte. Dieu aide ceux qui s’aident eux-mêmes ». Il n’est donc pas étonnant que nous disions parfois que nous détestons aller aux funérailles, car elles « nous font froid dans le dos » ou nous « ne savons pas comment nous comporter avec la famille en deuil ». Nous détournons le regard lorsque nous voyons un sans-abri au coin de la rue. Bien sûr, selon nous, tous les sans-abris « cherchent juste de l’argent facile pour acheter de la drogue » et nous passons au trot devant l’homme au chapeau de Père Noël qui sonne la cloche de l’Armée du Salut. Il est tout simplement plus facile de rester dans nos propres zones de confort social, de préparer de bons repas et de parler sans fin de sujets légers et agréables. Parfois, nous pensons que nous aimerions aller davantage vers les autres, mais nous nous sentons mal à l’aise ou nous ne savons pas par où commencer. Nous voulons être plus proches de nos assemblées et de nos communautés, mais cela n’arrive pas tout seul. Et c’est peut-être parce que nous n’acceptons pas notre propre humanité. Un incendie suffirait pour nous jeter à la rue. Un accident de voiture et nous voilà plongés dans le chagrin le plus profond. Nous sommes tous pauvres, affamés et sans défense, que nous le réalisions ou non. L’année dernière, je me suis souvent sentie très pauvre. Surtout au moment de la naissance d’Ava [notre fille], je dépendais complètement de mes parents et de la famille spirituelle ; Zézé aussi dépendait de sa famille et de l’assemblée à Blanchard. Depuis lors, pendant tout ce processus de déménagement, nous avons souvent accepté la générosité des autres. Pour ma part, j’étais revenue aux États-Unis avec un sac à dos, pensant rentrer chez moi en Haïti dans quelques mois. Au lieu de cela, quelques mois plus tard, Zézé est venu me rejoindre avec deux valises, un sac à dos et un sac en plastique aux lanières cassées qu’il avait acheté à l’aéroport parce que son bagage à main était surdimensionné. Ce n’est pas beaucoup de biens matériels, mes amis. Et maintenant, trois mois plus tard, nous avons pu acheter une voiture et nous sommes bien installés dans une petite maison au 205 Wren Rd, grâce au soutien extraordinaire de notre famille et de nos amis. Bien souvent aussi, je me suis sentie pauvre en esprit. Comme s’adapter au fait d’être une maman quand une petite personne a besoin de vous tout le temps et qu’une fois de plus vous n’avez pas eu le temps de lire la Bible, mais vous vous retrouvez à faire défiler les pages sur votre téléphone tout en allaitant le bébé parce que votre esprit et votre corps sont tout simplement épuisés. Ou comme le soir de la présentation de Noël de l’école, alors que j’étais frustrée envers mon mari, que j’étais en retard et que je m’apitoyais sur mon sort à cause des biscuits brûlés. C’était un jour où je pensais avoir tout prévu, mais où j’ai fini en catastrophe et j’étais de nouveau pauvre. Et puis l’église était sombre et silencieuse lorsque nous y sommes entrés et j’ai presque eu envie de pleurer en regardant les élèves de première année chanter de tout leur cœur avec leurs petites bougies aussi brillantes que leurs visages. Ce sentiment de pauvreté m’a montré la richesse du royaume de Dieu. La véritable beauté de l’amour que nous avons les uns pour les autres et le pouvoir qu’a l’Église de Dieu de nous chacun aider à surmonter notre pauvreté physique et spirituelle. Bien souvent aussi, j’ai ressenti de la peine face à des situations qui semblaient si injustes. Lorsqu’un jeune collègue de Zézé, notre voisin de l’assemblée de Cazeau, est décédé, nous avons pensé à sa famille et à notre assemblée à Port-au-Prince toute la semaine et il nous a semblé si injuste de continuer à vivre normalement ici aux États-Unis. J’aurais voulu être là pour l’enterrement et pour la veillée la nuit précédente. Chanter des chants dans la cour sombre et mettre ma robe blanche pour les funérailles et ressentir vraiment le chagrin. Mais nous étions ici et ils étaient là. Nous avons obtenu un enregistrement audio des funérailles en rentrant de l’église le dimanche et Zézé a commencé à l’écouter quand nous nous sommes assis pour manger. J’ai entendu les premiers mots du diacre s’adressant à l’assemblée et quelqu’un a commencé à gémir au fond, et je n’en suis pas fière, mais j’ai dit : « Non, je ne peux pas supporter ça maintenant. Mangeons d’abord et écoutons ensuite. » En fait, Zézé a écouté plus tard, tout seul parce que je n’étais pas prête à affronter le chagrin. L’année dernière, j’ai aussi beaucoup appris sur la faim. Tant de personnes dans le monde sont confrontées à l’insécurité alimentaire. En fait, c’est nous, qui ne nous préoccupons pas vraiment d’avoir assez de nourriture, qui sommes anormaux. Et la vraie question dans tout cela est de savoir comment avoir vraiment faim et soif de justice, des « bonnes choses », et croire que Dieu va satisfaire votre faim spirituelle et physique ? Je suppose qu’en cette fin d’année, au lieu de prendre la résolution de m’améliorer, de devenir plus autonome, plus mince, plus économe, et finalement de me ressaisir en général, je pense que je devrais accepter que 2023 sera une autre année de pauvreté. Il y aura des moments de faim et de chagrin. Et les accepter apportera l’épanouissement, la richesse des relations dont nous jouissons dans le royaume de Dieu, et sa présence, qui est le seul endroit où trouver le vrai réconfort.

Joyeux Noël à tous!

Décembre 2019

Bonjour à tous,

Cela fait quelques mois que je n’ai rien écrit sur ce blogue. J’écris maintenant à plus de 100 abonnés (je ne sais pas combien d’entre vous liront ces vœux), et ce qui me frappe c’est que vous êtes presque tous des inconnus pour moi. J’aimerais pouvoir vous souhaiter « Joyeux Noël » face à face, et faire votre connaissance.

Ces derniers mois, j’ai de nouveau manqué à mon engagement d’écrire une infolettre tous les deux mois. Je suppose que je pourrais dire que c’est parce que je suis trop occupé. C’est en partie vrai. Mais aussi je n’ai pas eu beaucoup de nouvelles et ou d’inspirations à partager avec vous.

Je crois que vous êtes plusieurs à suivre le blogue d’un frère de Saskatchewan: Bob Goodnough. Lui au moins écrit régulièrement sur une bonne variété de sujets qui ont tous une application dans la vie chrétienne. Je trouve ses articles très justes et souvent ils me font réfléchir à mon engagement et ma sincérité dans la vie chrétienne. Pour ceux qui ne connaissent pas son site, vous pouvez le visite ici: https://temoinanabaptiste.com/ et vous abonner, si vous le désirez.

L’année 2019 a été une année assez occupée à la Société évangélique de bibles et traités, avec un net accroissement des demandes venant d’Europe, surtout en début d’année. Notre site web continue de mettre plus de textes en ligne dans de plus en plus de langues, et cela permet que le message de l’Évangile soit mis à la disposition des populations des pays musulmans, par exemple. https://www.traitesevangeliques.org/ Plusieurs régions du Québec ont aussi été ciblées par des distributions de traités, et le résultat démontre que dieu appelle toujours ses créatures, malgré l’endurcissement généralisé que nous voyons autour de nous.

J’aimerais simplement vous saluer tous et si j’ai manqué de vous répondre à un moment donnée, veuillez me pardonner et m’envoyer une relance. Je ferai de mon mieux pour vous répondre bientôt.

Puissent tous nos cœurs être remplis de la paix que Jésus donne lorsque nous nous abandonnons à sa volonté.

Que Dieu vous bénisse,

Comment fêtez-vous Noël?

HOURRA, UN FILS…

C’est la joyeuse exclamation qui retentit dans un village de Sibérie. Les parents nourrissaient depuis longtemps le désir d’avoir un enfant. A présent, ils veulent partager leur joie avec des amis et des connaissances en les invitant à une fête en l’honneur du nouveau-né.
Par un froid piquant, de nombreux invités se rendent dans la modeste demeure de la jeune famille. A leur arrivée, ils enlèvent leurs gros manteaux et pénètrent dans le salon bien chauffé pour admirer le petit enfant en compagnie de leurs amis. Bientôt la chambre se remplit et la maman dépose son fils dans un panier d’osier dans le hall d’entrée pour le soustraire au bruit et à la cohue.
Les invités se succèdent en toujours plus grand nombre au foyer et chacun déguste dans la bonne humeur la viande, le pain, le gâteau et la vodka qu’on leur sert en abondance. Tous sont pleins d’entrain et les rires se prolongent jusque tard dans la nuit glaciale.
Soudain, vers minuit, la maman se lève pour rejoindre son enfant, mais dans le hall d’entrée une pile de gros manteaux est entassé sur la corbeille du nouveau-né. «Oh, mon enfant!» s’écrie-t-elle horrifiée. Elle se met à enlever un vêtement après l’autre. Enfin, elle aperçoit un coin du panier et le libère de la charge qui le dissimule. Vite, elle prend l’enfant dans ses bras, le serre contre elle et le recouvre de baisers, mais le garçon ne donne plus signe de vie.Désespérée, elle le secoue doucement et le caresse – rien n’y fait, il est mort étouffé.

OUBLIER L’ESSENTIEL!

Le nouveau-né qui représentait la véritable raison d’être de la fête a été oublié et a étouffé! Les invités étaient trop occupés à manger, à boire et à se réjouir.

Une telle tragédie ne vous arriverait certainement pas, pensez-vous. Et pourtant… Peut-être avez-vous aussi oublié la véritable signification de la fête de Noël. Les achats, les cadeaux, les mets recherchés, le sapin, les cartes de vœux et les rencontres de famille remplissent votre agenda, votre cœur et vos pensées. Au milieu de tous ces préparatifs effrénés, vous oubliez le véritable sens de cette fête. La raison d’être de Noël, la naissance de Jésus, est mise de côté et est étouffée par d’innombrables activités.

Jésus-Christ est exclu de sa propre fête et n’y trouve aucune place. Comme jadis à Bethléem, lors de sa naissance, il n’y a aujourd’hui pas de place pour Lui dans nos vies, ni dans nos cœurs. Quelle tragédie!
Serait-ce la raison pour laquelle de nombreuses personnes éprouvent un vide intérieur, des sentiments de tristesse, de solitude et de désespoir à Noël?

LA RAISON

…pour laquelle nous fêtons Noël réside dans la naissance de Jésus-Christ. Il n’est pas venu dans ce monde pour être fêté, mais pour apporter une solution au problème essentiel de l’homme. Il sait que l’égoïsme, la fraude, l’immoralité et la désobéissance à l’égard de Dieu nous rendent malheureux. Il est mort sur une croix pour subir la punition que mérite notre rébellion contre Dieu.
La Bible nous dit que tout homme qui se repent, se détourne de sa vie d’égoïsme et de péché, et qui accepte Jésus comme maître de sa vie, reçoit de Dieu une vie nouvelle et entre dans une communion étroite avec Lui. Comme à sa naissance Jésus a apporté la gloire dans la sombre étable de Bethléem, de même Il apporte la lumière, la joie et l’espérance à votre cœur.
J’ai moi-même pris cette décision il y a quelques années, peu avant Noël, et j’ai pu commencer une vie nouvelle et pleine de sens. Profitez vous aussi de ces jours de fête pour recevoir dans votre cœur le Fils de Dieu comme votre Sauveur personnel. C’est ainsi seulement que vous découvrirez la véritable joie de Noël, profonde et durable – ou bien, allez-vous encore une fois fêter Noël sans Jésus?