Les feuilles mortes tombent toujours
de l’arbre avec les frimas.
Elles volent dans le vent des jours,
mais l’arbre lui ne meurt pas.
Au ralenti la vie demeure,
cachée dans l’arbre qui somnole.
La sève est le puissant symbole,
d’une vie qui jamais ne meurt.
Quand les saisons de notre histoire,
s’effeuillent au livre où tout s’inscrit,
en creux sillons dans nos mémoires,
demeurent joies, peines et soucis.
Notre séjour est temporaire
et la mort ne lésine pas
Elle fauche largement son aire,
vous mène de vie à trépas.
C’est donc ainsi que de l’enfance,
aux jours de la maturité,
nous passons de l’insouciance,
à l’heure de la vérité.
Quand le corps retourne à la terre,
l’âme et l’esprit s’en sont allés,
dans l’éternité près du père,
s’ils ont cherché sa volonté.
Ne comptons pas sur nos mérites,
car alors nous croirions en vain.
Le ciel est pour tous ceux qu’habite
l’humble, le doux, Christ le seul bien.
Annick Markmann
J’en suis dans mes lectures au voyage
de frère Léon et de frère François…
Avec le fameux dialogue …( Frère François…. Julien Green…)..Pace e bene …
J’aimeJ’aime
Intéressant, je ne connaissais pas cet ouvrage.
Joël, il me ferait plaisir de vous rencontrer un jour si cela vous intéresse.
N’hésitez pas à m’écrire à missionnaireanabaptiste@gmail.com pour faire plus ample connaissance.
Dieu vous bénisse.
J’aimeJ’aime